Les bonnes choses de la vie [Uruïa]

C'est la chaleur d'un rayon du soleil qui réveilla le jeune lion aveugle ce matin. Il ne pouvait jamais savoir s'il faisait nuit ou jour alors quand il faisait très chaud, c'est qu'il faisait jour et quand le froid commençait à se faire sentir, c'est que la nuit arrivait. Le lion couleur sable à la crinière rouge se leva donc et il se dirigea vers la sortie de la grotte. Azzaro dormait juste à côté de la sortie pour éviter de rentrer dans tous les lions qui dormaient le matin; et aussi pour pouvoir savoir quand il faisait jour grâce aux rayons du soleil.

Aujourd'hui, Azzaro avait décidé de faire un tour vers le désert. Il aimait se retrouver dans cet endroit car il ny avait ni arbre, ni rocher, ni rivière donc il ne pouvait pas se tapper qulque chose en pleins dans la figure ni tomber dans la rivière. Quoi que le lion n'avait jamais plonger dedans sans faire exprès, il savait très bien où elle était grâce au bruit qu'elle faisait. Le lion arriva enfin dans le désert car il sentit du sable sous ses pattes. Il avança en ligne droit avant de se coucher en plein milieu du désert pour rester au soleil. Il aimait sentir toute la chaleur de ce dernier sur son visage.

Uruïa s'était levée ce matin, poussée par un je-ne-sais-quoi à se diriger vers le désert. Peut-être pour la chaleur bienfaisante qui y régnait le matin. Elle comptait s'allonger au soleil et re-dormir.
Elle avait dormi avec sa soeur dans une petite caverne, le matin elle avait grignoté un peu de viande. Elle avait prévenu sa soeur qu'elle allait dans le désert. Elle aimait ces moments de solitude où elle pouvait réfléchir, méditer et apprendre, toujours et encore. Il y avait tant de choses à apprendre ! Elle n'était qu'une fourmi ignorante dans ce grand monde...
Elle arriva sur les lieux et se coucha sur une pierre surélevée. Mais son attention fut attirée par une silhouette, au loin. Sûrement une carcasse ! Et elle avait faim. Mais plus elle s'approchait, plus elle se persuadait que ce n'était pas une carcasse.

Les moments de calme comme celui qu'il était entrin de vivre, Azzaro les aimit énormément. Le lion adorait aller là où presque personne n'allait pour être quasiment sur qu'il ne serait pas dérangé. Il n'avait encore rien manger depuis hier soir mais cela ne le dérangeait pas du tout. Le lion avait des réserves avec son "gros" ventre alors ce n'était pas très grave.

Azzaro entendit alors que quelqu'un arrivait. Il le savait car cette personne respirait assez fort et que malgrès que le sable ne fasse pas trop de bruit lorsque l'on marche, il l'entendait quand même. Le lion à la crinière rouge se leva alors il fit mine de regarder dans la direction où l'animal qui arrivait se trouvé. Azzaro ne pouvait pas savoir de qu'il s'agissait et encore moins de quelle espèce il s'agissait.

Bonjour, à qui ai je l'honneur ?

En tout cas, cette personne devait être femelle car il savait reconnaître l'odeur entre mâle et femelle sur les animaux à leur odeur.

Uruïa était maintenant sûre que ce n'était pas de la nourriture qui se trouvait là, mais un lion ! Elle qui détestait rencontrer des lions, ce n'était pas de chance ! Le lion se releva et regarda dans sa direction, il l'avait repérée à coup sûr. Uruïa s'immobilisa, une patte en l'air, sa queue fouettant l'air nerveusement. Car Uruïa était nerveuse, comme à chaque fois qu'elle croisait un inconnu. Mais celui-là était différent. Ses yeux étaient blancs... Et il paraissait gentil.

Ce n'est pas un honneur que vous avez de me rencontrer. Je ne suis qu'une vagabonde, et je me nomme Uruïa. Et vous ?

Le lion fit quelques pas en avant vers l'animal et il s'arrêta quand il fut assez près. Azzaro fit un petit sourire quand il entendit une queue fouetter l'air de façon assez énergique. La personne qui se trouvait en face de lui était donc soit nerveux soit énervé. Mais, en l'entendant parler, Azzaro conclut qu'elle était nerveuse car c'était une femelle. Ce qu'elle dit fit encoe plus sourire le lion aveugle qui s'avança encore de quelques pas. Il était vraiment près d'elle, il la toucha avec une patte pour savoir de quelle espèce elle était. Une lionne très bien, ils allaient suremet bien s'entendre.

Mais non, je suis heureux de vous connaître Uruïa. Je suis Azzaro. Moi vous savez, je suis aveugle donc je ne fais aucune différence entre vagabonde ou pas, vous êtes une lionne qui à l'air assez gentille, c'est tout ce que je sais.

Uruïa fut étonnée. Elle redressa les oreilles, posa sa patte qui était toujours restée en l'air et sa queue se calma. Le mâle se rapprocha d'elle et alla même jusqu'à la toucher. Uruïa recula d'un pas, mais comprit vite : le lion devant elle était aveugle. Voilà la raison de ses yeux blancs ! Azzaro, car c'était le nom du lion, paraissait tranquille. Il savait qu'Uruïa n'allait pas l'attaquer. Mais le lion ne put pas voir qu'Uruïa rougissait

Excusez-moi de ma nervosité... Je ne savais pas que vous étiez aveugle. Mais ce n'est pas très grave. Et merci de votre gentillesse à mon égard. Vous êtes très gentil, vous aussi, et pour l'avouer, le lion le moins méfiant que j'aie rencontré !

Lorsqu'il posa sa patte sur la femelle pour savoir de qu'elle espèce elle était, cette dernière recula vivement. Il comprit que cela l'avait sans doute gêné mais il avait l'habitude que les aimaux reculent quand il faisait cela. Il l'écouta parler avec plaisir, elle avait une voix assez douce et plaisante à entende. La remarque de Uruïa fit sourire Azzaro qui resta à distance d'elle. Effectivement, il ne pouvait malheureusement pas voir qu'elle rougissait sinon, il lui aurait demandé pourquoi.

Ce n'est rien, vous n'êtes pas la première. Vous trouvez que je ne suis pas méfiant ? Pour tout vous dire, je ne le suis pas car quand nous sommes trop méfiant, on finit par avoir peur de tout quand on est aveugle comme moi. J'ai donc décidé de ne plus être méfiant.

Le soleil réchauffant son visage fit fermer les yeux à Azzaro qui profita un petit peu de ce beau moment.

Uruïa vit Azzaro la respecter en se tenant à distance d'elle. Il sourit, Uruïa en fut soulagée et sourit tout autant. Le lion fit une remarque intéressante. Elle l'écouta attentivement, il avait raison. Uruïa remarqua que le lion était intelligent et avait de l'expérience, même s'il n'était pas vieux.

Vous avez raison. Vous être très intelligent ! A vrai dire, je ne m'attendais pas à ce genre de réflexion de la part d'un lion.

Uruïa disait ça amicalement. Le lion attendit avant de répondre, et se réchauffa le visage au soleil. Cela faisait bizard de le voir fermer les yeux. Mais Uruïa avait aussi fermé les yeux, comme elle aimait ces moments où la chaleur envahissait tout son être !

Le lion aimait se sentir envahir d'une chaleur du soleil. Malgrès qu'il soit aveugle, Azzaro avait quand même fermé les yeux c'était son seul moyen de croire qu'il était un lion comme els autres et non aveugle. Depuis son plus jeune âge, Azzaro ne revait que de ça, pouvoir un jour rien qu'une petite seconde être comme les autres lions. Mais, ce rêve ne s'était jamais réalisé.

Merci, ce que vous me dites me touche beaucoup. Pourquoi ne vous attendiez-vous pas à egenre de réflexion ?

Il r'ouvrit le yeux pour tourner la tête du mauvais côté d'où était Uruïa mais heureusement, il l'entendit respirer et donc, il tourna la tête du bon côté. Cela lui arrivait de temps en temps de se tromper de côté.

En entendant la voix du lion, Uruïa ouvrit les yeux. Elle n'avait pas vu qu'il s'était trompé de côté, déjà, il la regardait. Enfin, il la fixait sans la voir. Comme cela devait être dûr pour lui ! Ne pas pouvoir jouir de toutes ces belles couleurs, se sentir si différent...

Tous les lions que j'ai rencontré sont idiots. Je crois bien qu'il faut...

Uruïa s'interrompit d'elle-même. Elle espérait ne pas blesser son nouvel ami.

... qu'il faut être différents physiquement pour l'être intérieurement.

Le lion à la crinière rouge "regardait" dans la direction de Uruïa et il fit un léger sourire quand elle commença sa phrase. Puis, elle se stoppa en plein milieu. Il comprit tout de suite qu'elle cherchait ses mots et il se tut pour la laisser réfléchir quelques secondes. C'est enfin qu'elle termina sa phrase, cela le fit encore plus sourire.

Je vous remercie. Je ne sais pas comment vous êtes physiquement mais je sais bien que vous êtes différente des autres à l'intérieur.

Azzaro eut alors l'idée de poser une question à la lionne mais il ne saviat pas si elle voudrait lui répondre. Tanpis, il se jetta à l'eau et prit laparole encore une fois.

Pouvez-vous vous décrire s'il vous plait ?

Il voulait juste la taille environ, la couleur du pelage et si elle avait d'autres choses que d'autres lionnes n'ont pas.

Uruïa était gênée de sa phrase. Mais elle vit le lion sourire. Oui, il était bien différent des autres ! Il ne semblait jamais s'irriter. Il prenait tout simplement la vie comme elle se présentait. Il n'en voulait pas du tout à Uruïa, il lui disait même de gentilles phrases. Mais maintenant il hésitait, se pinçait les lèvres. C'était sûr qu'il voulait aussi poser une question, peut-être impertinente ? Uruïa attendit qu'il se jette à l'eau. Et il le fit ! Uruïa parut surprise, mais elle se ravisa vite. Sa question était normale, pour lui !

Merci. Oui, je veux bien me décrire, évidemment ! Je ne suis pas grande pour une lionne de mon âge. Je... hum... je suppose que vous avez déjà tâtonné un buisson de baies ! Je suis à peu près de la même taille. J'ai une mèche de poils qui retombe sur mon visage. Je suis...

Elle voulait dire sa couleur, mais ce lion savait-il ce qu'était une couleur ? Elle se jetta tout de même à l'eau

Excusez-moi. Je disais donc que je suis blanche mais sous mes yeux, j'ai des triangles noirs.

Le lion écouta la description de la lionne avec plaisir. Soudain, elle arrêta de parler Azzaro ne comprit pas trop pourquoi. Mais, c'est quand elle se remit à parler que le sourire du lion s'effaça. Après tout, elle n'était pas sencé savoir qu'il était aveugle de naissance. Il se décida à lui dire car elle ne comprendrait pas pourquoi il avait arrêté de sourire.

Je... depuis ma naissance je suis aveugle. Je ne peux donc pas savoir ce que c'est que du blanc et du noir. Quand j'étais petit on m'a expliqué que le blanc c'était très clair et que le noir, c'était très foncé mais, je ne peux pas non plus savoir les nuances de couleur.

Il refit un tout petit sourire puis, il ferma les yeux deux petites secondes pour se rappeler des mots que disait sa mère. Puis, il les r'ouvrit.

Uruïa avait reçu la réponse à la question qui trottait dans sa tête depuis un moment... Azzaro était aveugle de naissance, et il ne conaissait pas les couleurs. Il ne souriait plus et Uruïa non plus. Elle se sentait terriblement embarrassée.

Je... je suis désolée...

Elle ne savait pas quoi dire...

Le lion resta un petit peu sans voix mis quand la lionne ronpa le silence pour s'excuser, il fit un petit sourire avant de parler à son tour.

Vous... vous n'avez pas à être désolé. Après tout, ce n'est ni de votre faute ni de la faute de personne d'autre si je suis aveugle de naissance.

Pour rester toujours dans le même sujet mais en disant quelque chose de moins triste, Azzaro reprit.

Je vais vous avouer quelque chose, moi, je peux vous voir avec mes oreilles. Rien qu'entendre le souffle de vote respiration ou le bruit de vos pas, je peux savoir où vous êtes.

Uruïa, terriblement embarrasée encore une fois, se rassura en voyant le lion faire un petit sourire et lui parler gentiment. Il venait d'ailleurs de dire quelque chose d'étonnant...

C'est vrai ? Vous arrivez à savoir où je suis juste en m'entendant ? Peut-être que vos yeux ne voient pas, mais vos oreilles sont extrêmement dévelloppées !

Uruïa souriait, elle redressait ses oreilles : elle était intéressée, elle aimait beaucoup apprendre de nouvelles choses ! Et voilà l'occasion rêvée d'apprendre ! D'apprendre comment vivait un lion aveugle...

Uruïa semblait intéressé par comment "voyait" Azzaro alors celui-ci fit un pas vers elle. Il senit qu'il était assez proche d'elle car il entendait sa respiration assez fort donc, il ne fallait plus qu'il avance. Le lion avança juste un petit peu sa tête pour dire à l'oreille de la lionne.

Maintenant que j'ai compris commen vous respirez et marchez, je pourrais toujours savoir quand c'est vous qui vous approcherez de moi.

Il fit un petit sourire tou en humant le doux parfum de la lionne qui sentait assez bon.

Azzaro s'était rapproché d'Uruïa, mais celle-ci, qui avait désormais confiance en le lion, ne recula pas. Il lui glissa quelques mots à l'oreille... Etrange... Il savait exactement où se trouvait Uruïa et où chaque partie de son corps était. C'était vrai, le lion voyait avec ses oreilles, mais d'une manière différente. Uruïa sourit.

Je comprends, maintenant. J'aime beaucoup apprendre de nouvelles choses, et je dois avouer que je suis assez jeune ! Je sais quand ma soeur approche, car je reconnaîtrai son pas entre mille ! Mais il m'a fallut toute une vie à ses côtés pour les reconnaître.

Quand il eut enfin finit de parler et que Uruïa commença une nouvelle phrase, Azzaro refit un pas en arrière pour ne pas trop la déranger et il s'assit dans le sable chaud. Sa réponse le fit sourire légérement.

Vous n'avez pas assez d'entrainement pour reconnaître les bruits de pas de tout le monde. Et puis après tout, vous n'en avez pas besoin, vous avez vos yeux pour savoir qui est devant vous...

Azzaro ferma alors les yeu, comme s'il essayit de se rapeller ce qu'il voulait dire. Puis, tout en gardant les yeux fermaient et un grand sourire, le lion ajouta.

Moi, j'ai toujours eut besoin de mes autres sens pour "voir" les autres lions donc à force, j'y arrive bien. sans ça, je ne serais pas où est votre oreille pour vous chuchoter quelque chose. Je l'ai su car j'ai sentit votre respiration sur ma tête et je me suis dit que comme tout le monde, votre oreille n'est pas si loin de votre bouche.

Il continua de sourire mais r'ouvrit les yeux cette fois.

Uruïa souriait. Ces derniers temps, elle souriait peu... Mais aujourd'hui fut certainement la journée où elle souria le plus ! Azzaro s'était assit dans le sable, Uruïa en fit autant car elle était restée debout un certain temps. Elle s'était maintenant habituée aux yeux du lion, qui se fermaient et s'ouvraient sans voir et à ses paroles sages... Pas vieux, mais intelligent !

Disons que chacun a ses spécialités ! Mais dites-moi, votre famille est-elle toujours près de vous ?

Uruïa désirait rester là, à parler calmement avec ce lion si gentil, à sentir les rayons du soleil sur elle et à sentir le sable chaud sous ses coussinets

Lorsqu'il s'assit, Azzaro fut heureux car il començait à avoir mal aux pattes de ne pas bouger et de rester debout en même temps. Il l'entendit alors s'assoir aussi et elle lui posa une question. Au début, il la contourna pour parler d'autre chose.

Je suis peut être aveugle mais comme la plus part des lions le pense, je ne suis pas bête. Ce n'est pas parce qu'on ne voit pas, qu'on ne sait pas.

Se disant qu'elle allait pensé qu'il faisait exprès de contourner la question, Azzaro décida de lui en parler. Il perdit alors le sourire rien que de se souvenir de ses parents.

Mon... mon père ne m'a jamais accepté parce que... j'étais aveugle quant à ma mère, elle a toujours tout fait pour moi. Ils sont tous les deux morts désormais tué à cause de cette horrible guerre. Comme je n'ai jamais aimé le roi Hasira, je me suis réfugié chez les non exclus.

A ce moment précis, Azzaro eut envie de pleurer mais comme il était devant une lionne, il voulait se montrer assez fort alos, il se retint. Il n'allait pas pleurer devan la première lionne qu'il cotoyait.

Cette fois, Uruïa ne souriait plus. Azzaro, tout en lui parlant de ses parents, grimaçait un peu, retenant ses larmes. Pourquoi ? Uruïa, elle, aimait pleurer, ça la soulageait beaucoup ! Mais il faut dire qu'elle ne pleurait que devant sa soeur...

Je comprends... Je n'ai pas connu cette guerre, je savais juste qu'il y avait des tensions entre les deux clans. Moi, je n'ai connu que mon père ; ma mère est morte en mettant bas le dernier des 5 que nous étions. Seules ma soeur et moi sommes restées vivantes...

Le lion à la crinière rouge ne se rendait pas compte qu'il était entrin de faire une "grimace" pour éviter de pleurer. La lionne heureusement ne resta pas sur son histoire à lui mais elle se mise à parler de la sienne.

Oh... cela à dut être très dur à supporter. Je propose que nous arrêtions de parler de cela, c'est un sujet assez sensible que je n'aime pas aborder.

Ce n'est pas qu'il a quelque chose contre elle mais parler de sa famille était quelque chose qu'il detestait.

Pourquoi ne pas avoir intégré un clan ?

Azzaro voulait, semble-t-il, changer de sujet et Uruïa le comprenait. Pour elle aussi c'était dur de parler de sa famille... Elle baissait la tête et couchait ses oreilles, ses yeux montraient une certaine tristesse à chaque fois qu'elle ou que quelqu'un d'autre abordait ce sujet. Puis, elle fut troublée par la question que le lion venait de lui poser... C'est vrai... Au fond, pourquoi n'avoir pas choisi d'intégrer un clan ? Uruïa réfléchit un instant, puis comprit la réponse

Je n'y avais vraiment jamais pensé, mais je crois que c'est à cause de la soif d'aventure de ma soeur et de la mauvaise expérience que j'ai eue...

Azzaro ne put pas voir que la lionne avait baissé la tête et les oreilles de tristesse car il était aveugle. Il entendit juste sa respiration se ralentir donc, il comprit qu'elle devait être triste d'avoir parlé de sa famille. Uruïa répondit alors à sa question.

Votre soeur est une aventurière ? Je n'ai pas le droit d'en douter une seconde puisque je ne la connais pas mais pourquoi n'avez-vous pas intégré les non exclus ? Ici, c'est presque comme si on vivait sans loi même s'il faudrait répondre présent au cas où une guerre se préparerait et qu'il faut partager la nourriture.

Il fit un léger sourire tout en "regardant" dans sa direction. Cette lionne si gentille avait un passé tellement difficile.

» Uruïa, la lionne seule...
» Monter vers les étoiles pour écrire son histoire (PV Uruïa, voir libre)