Entre chef [Janja]

Aujourd'hui, Hasira a décidé de faire une petite promenade sur ses terres. Il a envie d'aller vers le cimetière d'éléphants pour mieux visiter l'endroit. Il y a tellement de choses à voir que le chef ne sait pas trop par où commencer. Soudain, un bruit le fait s'arrêter et Hasira se met à regarder partout. D'où peu bien venir ce bruit ? Le lion imposant s'avança un petit peu tout en continuant d'observer les environs. Il sortit par la suite ses griffes au cas où quelqu'un serait là.

Qui est là ?

Hasira fit un tour sur lui même pour bien regarder si personne n'était derrière lui. Apparement, personne. Le chef des exilés garda tout de même ses griffes sorties au cas où un animal surgirait de nul part. Hasira continua d'avancer pas à pas à travers les ossements des éléphants morts tout en restant attentif à tous les petits bruits qui se trouvaien autour de lui. Il n'avançait vraiment pas vite et le lion rgardait un peu partout. Hasira en était sur, quelqu'un était là et, il l'espionnait.

Roi de la terre des lions Messages : 96 Date d'inscription : 08/02/2010

Le roi était partit bien tôt ce matin. Il avait une pressante envie de réfléchir seul à ce qui lui arrivait. Parfois il avait l’impression que tout allait si vite qu’il ne les voyait même pas passer. Hier il était encore un enfant, insouciant, plein de joie et d’amour à revendre alors que maintenant… Qu’était-il au juste maintenant ? Un être qu’on avait placé sur un trône sans vraiment qu’il n’eu sus pourquoi. Cette mélancolie était devenue presque habituelle à présent mais malgré qu’on eu peu pensé le contraire il commençait à en avoir assez. Jamais il ne s’était montrer complaignant vis-à-vis des autres certes mais on le sentait dans ces yeux et les regards pleins de pitié qu’il pouvait apercevoir dans les pupilles de ses semblable le dégoutait. De leur pitié et leurs étreintes il n’en voulait pas. Son père n’aurait jamais tolérer ça mais il fallait tout de même admettre que c’était beaucoup. De plus il y avait son frère, il se devait de veiller sur lui également. Mais s’en était peut être un peu trop de comparer un frère à tout un royaume. Mais et alors ? Après tout, Janja avait un sens de la famille énorme et pour lui son frère et son peuple était sur un même pied d’estale. Enfin, était-ce pourquoi il marchait à présent ?

Cette idée l’embrouillait encore plus alors qu’il était venu ici pour le contraire. Il secoua alors la tête, révolté de sa propre personne. Oui, il était égoïste et cela l’agaçait. Certes, une personne peut être égoïste mais pas un roi. C’est bien le seul défaut que ne peuvent posséder ces gens haut placer. Il n’en pouvait plus… De plus, il avait la désagréable impression que personne ne le prenait vraiment au sérieux à cause de ses futiles problèmes qui le rendait occasionnellement aussi… faible. Oui, faible c’était le mot. C’était d’ailleurs de cette « faiblesse » qu’avait profité Hasira, le chef d’un clan ennemi pour s’infiltrer dans le royaume. Heureusement que les lionnes l’avaient aidé à le chasser de la terre des lions car seul, il serait déjà mort. Mais cette pensée lui fit stopper sa marche. Il releva la tête comme terrifier. Et si quelqu’un était mort ? Il aurait dut faire ça seul… Il n’aurait pas du être faible comme il l’avait été. Si cette personne qu’il était devenu mettait ses propres sentiments avant la sécurité du reste de la troupe s’en était finis de tout. Il aurait voulut être une autruche pour pouvoir enfouir sa tête au plus profond du noyau terrestre mais hélas… En voyait là une pensée bien lâche. Pas digne d’un roi ça il en était clair ! C’est pourquoi il redressa les épaules fièrement tout en bombant le torse mais cette allure frôlait le ridicule. En un soupir il redevint le faible Janja, décrépit et tasser. Il regarda le ciel à peine éclairé pleins de désespoir et hurla :

« Pourquoi ? Tu n’avais pas le droit de m’abandonner… Tu… Tu ne devais pas me laisser là ! »

Puis il donna une tape enragé dans la terre qui laissa un nuage de poussière s’envoler. Les larmes tombèrent. Mais que devait-il faire ? Rester fier et brave ? Surement… Mais ce n’était pas chose faite. Il devrait se reconstruire petit à petit et cela allait demander du temps mais il voulait… il DEVAIT le faire. Cela n’était pas un effort personnel. C’était pour son peuple.
Il recommença sa marche pour se retrouver près du cimetière des éléphants. Il aimait y emmener son frère pour lui faire peur étant jeune. Il sourit à cette pensée. Geste rare au félin. Avec l’envi de se rappeler il zigzagua entre les os de ces défunts pachydermes quand il entendit une voix. Ecarquillant les yeux il remarqua enfin la carrure rougeoyante d’Hasira. Il se stoppa net. Que devait-il faire ? Se montrer ou s’enfuir. Le deuxième choix aurait été plus raisonnable mais qu’en était-il de ses bonnes résolutions ? Après une toux rauque il sortit agilement de la prison osseuse pour dire d’une voix rauque mais peu rassurée :

« C’est moi. Navré de déranger…. »

Un toussement rauque fit se retourner le chef des exilés. Janja était là... Tout de suite, Hasira se souvint du lion qu'il avait combattu il y a déjà quelques temps. Ce petit lion tout juste sortit de l'adolescence avait assez bien grandit. Il ressemblait de plus en plus à son père sauf que ce dernier avait plus de muscles. Bref, Hasira fixa Janja qui venait de lui dire quelques mots en prenant une voix tout aussi rauque que son petit bruit de toussement. Le lion imposant eut presque envie de rire en remarquant que malgrès l'air qu'il se donnait, Janja n'avait pas l'air rassuré. On aurait plutôt dit qu'il avait envie de partir mais, il resta là. Un bon point pour Janja car s'il restait ici, c'est qu'il n'avait pas trop peur de Hasira sinon, il serait déjà loin. Le lion à la crinière rouge fit un pas, puis deux avant de se stoper, ses griffes toujours dehors, Hasira fixait le roi de la Terre des Lions.

Oui... tu déranges car tu es sur mes terres.

En commençant à grogner un petit peu, Hasira s'approcha encore de quelques pas. Il venait de prendre un air assez menaçant pour intimider le roi ennemi qui venait de franchir la limite. Le lion reprit alors sur le même ton méchant pour parer à Janja.

Tu crois que parce que tu m'a battu une fois, tu as le droit de venir ici ? Je ne te laisserais jamais toi et ton peuple rester sur mon territoire.

Hasira s'arrêta. Il n'allait pas tapper sur Janja sans l'avoir laissé répondre à sa question. En tout cas, ce jeune roi n'avait pas intérêt à partir en courant carsi Hasira le rattrapait, il le tuerait.

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Quelques petits nerfs commencèrent à titiller l’œil du roi Janja. Il n’était vraiment pas à l’aise mais n’en faisait rien paraitre. Certes il aurait put rétorquer mais malheureusement il n’était pas sur ses terres et tenir tête à Hasira dans le cas où il avait raison serait une faute grave. Gardant malgré tête haute et les yeux froids le lion brun dit d’un ton détaché :

« Il est vrai que je suis en tort. Je ne suis en aucun cas sur mes terres mais c’est à moi et uniquement à moi que tu devras t’en prendre et laisser mon peuple en dehors de tout ça. »

Il n’aimait pas qu’on parle de ses semblables comme de la pure marchandise avec lesquels on s’amuse, on torture puis on jette. Ils étaient bien plus que ça. Ils étaient un tout, un seul être qui ne pouvait être totalement complet s’il en manquait un. Sa avait toujours été leur force, celle de l’unité. On s’entraidait, on s’accompagnait… Jamais on ne se sentait à l’écart. C’était le royaume que son père avait crée et il comptait bien faire régner cette pensée presque idéal. Mais Hasira ne semblait pas de cet avis… Il le regardait d’un œil vil et mauvais comme si, d’un seconde à l’autre, il allait sauter sur le pauvre Janja pour le tuer d’un coup de crocs. Cette idée le fit avoir des petits remous dans le ventre. Quel idiot avait-il été de s’aventurer dans une terre qui n’était pas la sienne. Là il n’était plus Janja le roi mais Janja, un lion seul face au roi le plus cruel qui puisse exister. Malgré tout, il essaya de garder son calme. Après avoir dégluti il dit :

« De plus, te battre n’était en aucun cas le but de ma venue… »

Autant clarifier les choses tant qu’il le pouvait encore. Il s’était retrouver ici un peu par hasard et maintenant… maintenant il était dans le pétrin mais il avait bien l’intention de s’en sortir et de préférence sans égratinure.

Le lion imposant fixait l'autre lion. Selon lui, Janja n'était pas un vrai roi, plutôt quelqu'un qui avait hérité d'un royaume sans avoir reçu une éducation digne d'un roi. Mais, il avait l'air de considérer ses sujets comme sa famille, chose que Hasira ne faisait pas du tout.

Ils t'ont aidé une fois, crois-tu qu'il le feront toujours ? Si je dois me battre avec quelqu'un de ton clan, ne t'inquiète pas, tu seras ma première cible.

Le jeune lion expliqua alors qu'il n'était pas ici pour ce battre. Hasira rangea alors se griffes même s'il pouvait quand même sauter sur Janja d'un moment à l'autre. Hasira fit un pas vers l'autre lion ennemi en affichant un petit sourire comme s'il allait lui sauter dessus mais il ne fit rien. Pour le moment, Janja n'avait pas l'air de vouloir partir alors pas besoin de s'inquièter.

Fait gaffe à tes fesses ici Janja. Papa n'est plus de ce monde et il ne pourra pas t'aider à t'en sortir.

Hasira fit un sourire sadique. Il savait très bien que la mort e l'ancien roi affectait encore tout les sujets du royaume et c'est pour cela qu'il en parlait ici.

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Il riait, oui il riait de bon cœur. Ce rire tranchant et froid remuait l’estomac du jeune roi. Il savait l’effet que ça lui faisait quand on parlait de son père et rien que le fait que ce lion là puisse parler de lui comme il le faisait l’agaçait au plus au point mais il se taisait. Il ne voulait en aucun cas crée de problème et il savait, au plus profond de lui, que malgré toutes ses moqueries et ses rires Hasira n’était pas le mieux placé pour prendre ses grands airs. Lui aussi avait été séparé de ses parents bien trop tôt… Il avait été chassé de son troupeau, il avait été seul, il avait éprouvé de la peine, de la douleur… Mais il avait réussi à se reconstruire et c’était la seule chose qui manquait à Janja. Ce qu’il savait en tout cas c’était qu’avec l’aide de son peuple il allait y arriver tout n’était qu’une question de temps alors qu’il le provoque autant qu’il le veuille, rira bien qui rira le dernier. Cette pensée, presque trop cruelle pour un lion à l’esprit si fragile lui décrocha un sourire. Provocation ? Non, ce n’en était pas, juste une mise en garde. Il fixa alors le lion au pelage rougeoyant d’un air supérieur puis dit d’une voix très sure d’elle-même :

« Si mon peuple sera toujours là, je n’en sais rien, mais pour l’instant il m’aide et me soutiens. Je peux compter sur lui, c’est comme ça et ça l’as toujours été. J’ai confiance en lui, chose que tu devrais peut être plus avoir dans le tiens. Rappelle-toi qu’ils sont, avant d’être à toi, des êtres vivants avec une âme et un cœur qui ne t’appartiennent en rien. Après, si tu veux de moi en cible, il faudra venir me chercher. Je ne suis pas venu ici pour me jeter dans la gueule du loup, que j’ai, malheureusement, trouvé. Tu ne me fais plus peut Hasira car malgré le fait que tu le nie nous nous ressemblons beaucoup plus que tu ne l’ose le penser. »

Il était fier mais ne laissait paraitre qu’un visage impassible et glacé. Il ne bougeait pas et le jeune lionceau paraissait à présent un homme, fort bâtit et pleins d’ambitions. Il paraissait tellement grand et imposant qu’on n’aurait à peine voulut croiser son regard mais… qui sommes nous pour vouloir nous comparer à l’interlocuteur qu’il avait en ce moment même. Celui-ci, après tout, n’était surement pas près de lâcher la mise mais il fallait quand même remarquer l’audace qu’avait eu Janja suite à cet affront.

Ce que disait disait le roi des non exclus faisait bien sourire celui des exclus. Mais, le jeune Janja avait tout de même raison sur un point que Hasira ne voulait pas révéler. Oui, Janja conaissait le passé du lion à la crinière rouge même si Hasira ne savait pas comment, il savait que le roi le conaissait donc, il savait ce qu'il c'était passé auparavant. C'est pour cela que Janja venait de dire qu'ils se ressemblaient un peu beaucoup quand même. Hasira se mit donc assis car il savait que Janja n'attaquerait pas, il en était persuadé et de toute manière, Hasira voulait avoir cette discution avec l'ennemi. Pour savoir ce qu'il pensait savoir sur le passé de Hasira.

Ce sont des lions sous mon comandement... Moi par rapport à toi, je me fiche de qui combat pour moi, tant que quelqu'un le fait. De toute manière, les lions de mon clan rentrent et n'en ressortent plus ou alors je les tue. Tu vas sans doute me dire que beaucoup reste contre leur grè mais je m'en fiche. C'est moi qui décide.

Hasira aimait beaucoup commander les gens même si cela lui valait une réputation de roi indigne et sadique.

Pour ce qui est de notre ressemblance, dis-moi ce que tu sais de moi et après, je te dirais si on se ressemble ou pas. Mai ne te trompe en rien dans ce que tu va dire... ou je t'explose.

Hasira pensait bien qu'il n'allait pas se trompé mais, on sais jamais.

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Aurait-il peur notre bon roi ? L’air sarcastique d’Hasira paraissait à présent beaucoup moins sur de lui. On sentait déjà qu’il s’était quelque peu calmer, mais son ton n’en demeurait pas moins menaçant. Il semblait d’ailleurs presque irrité des révélations de Janja, comme si il ne savait pas pourquoi lui, son ennemi, pouvait savoir toutes ces choses. Mais de toute façon il les savait, c’était comme ça alors il l’interrogeait. Janja, toujours immobile et fixant un petit tas d’ossement non loin de là commença à parler en relevant les épaules :

« Je ne connais que des « on dit » mais ces « on dit » là sont déjà suffisant à presque tout savoir sur toi Hasira. Fils de chef peu cordial avec toi tu vas grandir mal dans ta peau. On dit aussi que les cajoleries incessante de ta mère t’agace, certes, mais tu aurais du en profiter… ce n’est qu’un simple avis… On dit aussi que tu t’es fait par la suite exclure de ton clan et que tu as dus te débrouiller seul… mais cela me rappelle quelque chose non ? Tu as réussit à monter un clan et tu es tombé amoureux, tu as formé une famille et mener une guerre. Je crois connaitre également cette même guerre… Tu peux nier toute forme de ressemblance car il faut avouer que je suis jeune et manque parfois d’expérience mais tu ne pourras nier cette évidence trop longtemps. »

Janja paraissait toujours aussi imposant. Il se sentait tellement bien, lui qui pensait son père bel et bien mort il savait à présent que tout ça était faux. Son père était bel et bien là, dans son cœur, et ici, jamais il ne mourrait. Il inspira une grande bouffée d’air puis calma sa fougue intérieure. Il se sentait si puissant qu’il aurait pus terrasser des montagnes. Il croisa alors le regard d’Hasira pour s’y plonger de façon qui aurait pus sembler menaçante. Il avait voulut jouer avec lui, il s’était tromper de victime.

Hasira toujours assis sur ses fesses écouta tout ce que le june roi commença à lui dire. Dans cela, tout était vrai dans ce que Janja venait de dire pourtant, Hasira se leva quand même et il fit un pas en avant vers le roi des non exclus. Le regardant assez méchament, le roi des exclus prit un ton assez menaçant.

C'est bon ? Tu es content de connaîte ma vie Janja. Alors d'accord, tu as raison sur tout les points que tu viens d'aborder sauf un, tu as oublié de dire que je n'aime pas qu'on me prenne de haut et pas non plus qu'on me prenne par les sentiments.

Hasira ressortit alors ses griffes et il fit encore un pas de plus vers Janja. Ce dernier avait cru qu'il était puissant juste parce qu'il conaissait la vie de son ennemi, pas du tout, cela ne le rendait en rien puissant.

Tu viens de t'en prendre à la mauvaise personne. Je devrais te tuer sur le champ pour avoir osé parler de ma vie ainsi. Et surtout pour avoir osé ajouter ton grain de sel en donnant ton avis sur mes relations avec ma mère.

Le lion commença alors à grogner un petit peu. Il avança d'un pas et il rugit à quelques pas de Janja.

Mais comme tu ne t'es pas trompé sur un seul point de ma vie, je ne ferais rien car je suis un lion qui tient ce qu'il dit et j'ai dit que je t'exploserais seulement si tu te trompais.

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Le rugissement du mâle ne le fit pas flancher. Certes il avait peur et jamais il n’avait eu de tête à tête aussi long avec Hasira mais cela lui prouvait à présent qu’il ne lui était en aucun cas inferieur. Cela rassura quelques peu, malgré tout, le jeune lion quand le chef adverse lui annonça qu’il n’allait rien lui faire. Le tuer maintenant aurait surement été un peu idiot de la part d’Hasira mais il en était en droit et ce qui était sur c’était que personne ne viendrait le défendre. Mais après tout, pourquoi lui faisait-il si peur ? Il fallait avouer qu’il n’était pas mal bâtit lui non plus et qui si il l’osait il pourrait défier son ennemi et peut être même le gagner… Mais peut être était-ce le sous estimé un peu trop. Il avait tout de même affaire à un professionnel, Hasira n’hésiterait pas une seconde à planter ses griffes aiguisées dans la chaire de Janja, il n’aurait aucune pitié et ça il le savait. C’est pourquoi il n’en fit rien. Il dit simplement d’une voix calme, ne laissant paraitre aucuns doutes :

« Que veux-tu de moi à présent ? Que je reste, que je parte ? Vas-y abuse de moi mais fait attention, tu ne veux pas que je meurs, du moins pas aujourd’hui. Tu veux de ma mort qu’elle soit légendaire, admirée par tous. Me tuer ici et maintenant serait une faute car il n’y as ni témoins ni preuves pour te hisser sur le trône. »

Après tout, ce qu’il disait était vrai. Tout héro veux son heure de gloire et ce n’était pas en tuant le pauvre Janja là qu’il allait pouvoir vanter ses exploits. Le roi brun le regarda alors d’un air de défie puis un petit rictus malfaisant se dessina sur ses lèvres.

Il n'avait plus peur ? Tant mieux. Hasira venait de se rendre compte que le roi Janja n'avait presque plus peur de lui. C'est toujours mieux de se battre contre un ennemi qui n'a pas peur plutôt qu'un qui a peur. Hasira était fier que l'autre roi n'éprouve presque plus de peur et il pourrait enfin se battre contre un roi et non contre un fils d'ancien roi décédé. Le lion à la crinière rouge foncé fit un petit sourire même si Janja ne comprendrait peut être pas pourquoi. Il écouta d'ailleurs ce que celui-ci venait de dire avec intérêt.

Je ne veux rien de toi Janja... j'ai déjà tout ce que je voulais. Tu crois que je suis assez débile pour te tuer maintenant ? Personne ne me verrait faire alors à quoi bon me venter de t'avoir tué si personne ne m'a vu le faire ?

Non... Hasira voulait tuer Janja durant la prochaine guerre qu'il était entrin de préparer secrétement dans son repère. Enfin, ce n'était pas vraiment un super repère, simplement un endroit comme les autres sur des terres abandonnés. Bref, en tout cas Hasira ne voulait pas tuer Janja aujourd'hui ni lui faire la moindre petit égratinure. Selon lui c'était tout ou rien, tuer Janja ou ne pas le toucher.

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« Si ce sont tes derniers mots alors nous verrons bien. C’est sur ces dernières paroles que je te dis au revoir et si je comprends bien à la prochaine mais fait attention à toi Hasira. Quand vous essayerez de nous terrasser pour une seconde fois nous serons près… Vous n’aurez jamais votre revanche et la terre des lions ne vous sera jamais laisser sans opposition tu peux en être sur ! »

Le roi Hasira écouta Janja parler, il voulut ensuite lui courir après car il avait encore des trucs à dire mais il ne le fit pas. Janja était plus rapide que lui car il était plus jeune et avait beaucoup plus d'énergie. Hasira décida donc de repartir chez les exclus.

[HS: merci aussi, désoler mais je savais pas quoi écrire comme fin, c'est pour ça que j'ai mit autant de temps à la faire. Enfaite, j'ai rien écrit car je peux pas dire un truc à quelqu'un qui a fini le rp lol]

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